Le petit village...

Oberon regarda la tête de l'enfant rouler jusqu'à lui. Puis Wanda s'en alla, laissant le zombie de l'autre gamin se réveiller et offrir un spectacle macabre.

Oberon lacha alors une gerbe de flammes sur le zombie, qui disparut quasi instantanement en cendre. Il en profita pour réduire l'autre corps au même état. Il observa un moment la nouvelle venue. Puis le semi démon se retourna alors vers son ouvrier

"Armand! Va prévenir les parents des enfants. Qu'ils procèdent aux rites funéraires. Préviens aussi le reste des villageois de rester vigilant."

Aprés un moment il ajouta froidement:
"Mes condoléances aux familles."

Il se reconcentra alors sur la jeune femme :

"J'ai bien vu l'auteur de se massacre, mais je ne connais pas son nom."
répondit il séchement.

Les corps une fois réduit en cendre, Désirea resta interdite un moment puis elle reprit avec la fierté dont elle savait faire preuve.

- Je me dois de le retrouver c'est bien dommage que vous ne sachiez pas son nom je suppose que vous savez a quoi il ressemble, de toutes manières içi les vampires ne court pas les rues.
LEs doigts de la vampire se sérrèrent, la colère envahissait Désirea. A peine avait elle refait surface que déjà il y avait des problèmes dans ses rangs.

- JE me présente je suis Désirea chef des vampires

Désirea resta devant l'homme attendant plus ample explication sur ce qu'il s'est passé.

Il répondit plus froidement, un tantinet méfiant devantla vampire :

"Je me nomme Oberon, je suis forgeron."

Il se tut un moment, avant de reprendre

"Le vampire en question était une femme, d'allure plutôt menue, avec des cheveux noirs lui descendant jusque dans le bas du coup et des yeux noirs. Elle était agacante et avait la manie de rire pour un rien. Elle paraissait aussi trés sure d'elle."

Il tourna la tête vers le volcan, il ressentait l'aura d'Arlas.

"Je suis désolé, mais on m'attend aux forges. La description que je vous ai faite vous convient elle?"

Il n'avait pas fini sa phrase, qu'il se dirigeait déjà vers le volcan.

[forges]

Désirea lui répondit un oui puis un merci avec convistion, il n'était pas de bon goût de passer pour une vampire sans éducation. Désirea sentit une aura se dégager du volcan, il faudrait qu'elle aille voir qui en est l'auteur.

Oberon un forgeron, serais-ce celui dont tout le monde parle, certainement vu sa prestence. Il était démon, elle l'avait compris au moment ou sans difficulté il avait calciné les corps des enfants.

Une vampire agacante et bien celle là quand Désirea l'aurait retrouvée elle passerait un sale quart d'heure.

Pour le moment elle se décida finalement a suivre Obéron sans se poser la question sur le fait qu'il ne serait sans doute pas d'accord.

[Hölle, jardin du plais royal]

Kadaj entra dans la seule auberge du village. il s'installa à une table et commanda de quoi se restaurer, et paya aussitot. Il portait son éternel manteau noir a capuche, et ses deux épées accrochés dans son dos. Il devait à toux prix éviter qu'on le trouve, et par conséquent, il decida de ne pas répondres aux insultes d'un homme ivre qui l'interpellait dans le bar. Au bout d'un moment, Kadaj entendit un nom familier.

- Excusez moi, fit t-il poliment, vous connaissez Oberon ?

- Oui, répondit l'homme qui venait d'évoquer ce nom. C'est un forgeron qui à ses ateliers non loin d'ici. Il passe d'ailleur assez souvent, lui ou des gens bizarres qui sont avec lui.

- Je vous remercie, fit Kadaj en se levant. Il ne fallait absolument pas qu'Oberon rencontre Kadaj, sinon Arlas et la deesse vampire saraient bien trop tot qu'il était en vit. kadaj quitta les lieux présément en maugréant, car il était bien tombé qu'il se soit arrété dans le seul village ou Oberon est connu...

[Ist, pont]

[Hölle, salle du trône]

Arlas était hanté par l'image de Désirea. L'aura de désir qui habitait la vampire semblait prendre le dessus sur son côté démoniaque. Arlas en tremblait de rage. Il ne devait pas devenir gentil avec les autres! Et encore moins avec une vampire, l'une des races qui soit en éternelle rivalité avec les démons.
Arlas arriva au village surplombé d'un volcan. Il était déjà venu en ces lieux mais ne s'y était pas attardé. Il devait retrouver la trace d'Andromeda, et il devait aussi prouver qu'il était un démon. Il ne faisait pas ça pour être craint, mais pour se prouver qu'il en était encore capable. Arrivé à la rue principale, il créa une illusion pour faire tomber un épais brouillard. Arborant un sourire malveillant, il mit son capuchon noir sur sa tête et attrapa la première passante qu'il trouva.

- As-tu vu une vieille femme qui dégage une aura particulièrement puissante?

Le ton d'Arlas était tout aussi dur que son regard. La femme fit "non" de la tête en versant des larmes. Arlas grimaça et lui brisa la nuque, puis il mit le feu à son corps. Les autres villageois, voyant cela, fuirent en hurlant.
Le démon se téléporta devant un homme et lui posa la même question. Ce dernier lui donna cependant un coup de poing. Arlas dégaina son épée et le décapita. Il força la porte d'une maison pour poser encore la même question, mais il eut toujours la même réponse.
Voyant que les habitants s'étaient réfugiés chez eux, il mit le feu à leurs maisons. Certains en sortirent, mais d'autres furent pris au piège dans une prison de flammes. Arlas n'éprouvait nulle remord. Son aura démoniaque avait repris le dessus, et la panique qui régnait en ce village lui procurait un plaisir intense. Le démon tua de sang froid les derniers villageois en fuite qu'il vit, mais certains avaient réussi à lui échapper. Arlas sourit, ayant une pensée pour Andromeda.

- C'était un avertissement, murmura-t-il.

Prénom : Edouard
Race : démon

Dans la brume apparut dans un coin reclu, les ailes noirs d'un ange dont le coeur était aussi sangalant que sa soif meurtrière. Il regarda le spectacle avec un sourire des plus amusé, la mort dictait dont ses lois même en ses lieux non damnés. Une illusion oui crée par lui, Edouard n'avait ni ailes, ni cape il n'était pas caché sous un cape. ses cheveux long d'ebene volaient tous dans le même sens, ses yeux pourpre et cruelles châtiant tout ces humains dégoutant. La pitié il ne conaissait pas.. la clémence encore moins.. son seul mot " la mort"

Ce qui l'avait attirer ici? la soif de vengeance, l'envie de voir le sang couler des habitant de ce village mais alors qu'au détour d'un regard sanglant il allait donner la mort il apercu ce démon.

"Arlas" Personne ne le connaissait mais lui connaissait tout le monde, personne ne l'avait vu mais lui savait tout, son lien avec la vampire, le combat avec un des autres démons, la perte si précieuse de son épée.

Il arriva donc dans le nuage de gris comme une tornade arriverait a fin destructrice sans chercher a comprendre il fit tomber quelques gouttes de sang avant de s'en servir pour lancer des lames au démon qui ne l'avait pas encore vu.

Toucher, une des lames avaient éraflé le bras d'Arlas, alors comme tout démon qui se respecte il eu un rictus démoniaque et sanglant..

Alors qu'il cherchait encore d'éventuels survivants, Arlas sentit quelque chose le frôler. Il regarda son bras et constata qu'il saignait, puis son regard s'attarda sur les lances, plantées un peu plus loin. Arlas chercha l'auteur de cette attaque, et son regard tomba sur un être sombre d'aspect, vêtu d'une cape de voyage et doté d'ailes noires. L'être était puissant, et le démon l'observait avec méfiance.

- Qui es-tu pour oser attaquer un démon?

Un rire se fit entendre dans la brume puis d'un vent fort la grissaille disparut laissant place a Edouard. Démon d'un peu plus de 200 ans il avait l'apprence d'un démon d'une vingtaine d'année. Sa capa vola sous le vent découvrant son visage et accésoirrement son identité.

- Je suis comme toi Arlas.. je suis un démon mais je suis plus noire que toi mon pauvre..

Il pencha la tête, ses yeux brillant de milleu feu s'attardant sur le chef des démons. Alors qu'il lui expliquait qu'il était un démon, de grandes ailes noirs apparurent dérrière son dos comme si le démon était aussi un ange déchu.

Cheveux blanc comme la neige, yeux doré comme le soleil, son visage avait une expression non chalente et sadique. Avant même qu'Arlas ne réponde il lui lanca a nouveau un jet de lame avant de lui dire.

- Meurt... démon

Il fondit sur lui déployant ses ailes, il sortit une épée et vint poufendre Arlas..en duel

Arlas vit l'obscure silhouette de son adversaire fondre sur lui à une vitesse prodigieuse. Puis une lame s'enfonça dans son torse, infligeant au démon une puissante douleur. Pourtant, et contre toute attente, Arlas sourit.

- Tu ne m'as toujours pas dit ton nom.

Arlas retira lentement l'épée de son corps, et la plaie se referma presque instantanément.

- Tu sembles m'en vouloir, il y a bien une raison à cela, non?

Alors que le démon venait de le pourfendre, Arlas en une presque un sourire et enleva l'épée sans peine ni souffrance. Le combat s'annonçait plus dur et plus corsé mais cela lui plaisait.

- Tu veux donc connaître le nom de celui qui te donnera la mort? Et bien je me nomme Edouard Baal.. je suis sur que ce patronime te dit quelque chose non? Tu t'es aproprié un trône qui ne te revient pas démon de basse classe.. et je suis là pour te le rappelait.

Baal, il était le descendant du démon de la guerre, un skizophrène d'acier, sans peur et sans autre but que de tuer. Edouard avait suivit toutes la débandade des démons grâce a son pouvoir de vision. Il avait vu Arlas se battre contre Kadaj, il avait vu également cette union ridicule entre lui et cette vampire quî bientôt goûterait a son épée.

-Ecoute démon je ne suis pas là pour te tuer principalement mais c'est mon loisir de toucher les autres de la pointe de mon épée et de leur donner la mort. IL se trame contre toi des choses bien plus grande et cela je le sais de mes pouvoirs de vision.

Le tuer maintenant ou s'en servir tel était la question..

Arlas écouta Edouard avec attention. Lorsque ce dernier lui annonça que l'on complotait contre lui, il eut un nouveau sourire.

- Ce n'est pas étonnant. Je suis le seigneur des démons, je ne crains aucune rébellion. Ton but est donc de tuer quiconque croise ton chemin. Intéressant...

Arlas s'exprimait avec calme. Son adversaire ne l'effrayait pas. Un fanfaron, rien de plus. Il repoussa Edouard à l'aide d'une boule de feu, mais celui-ci se releva presque aussitôt.

- Si tu penses que je ne mérite pas mon rang, je t'invite à prendre le pouvoir par la force.

Le seigneur des démons se contenta de fixer Edouard d'un regard noir. Il n'adopta aucune position particulière en vue du combat à venir.

- JE le pense oui sans aucun doute mais le devoir m apelle
UN bruissement d'aile qui s ouvre se fit entendra avant qu'une brume épaisse n'apparaisse colorant le ciel déjà impure. Le démon prit son envole non pas par lacheté mais par necessité, une lourde tache l'attendant encore et ce n'était pas en restant là qu'il allait l'accomplir.

Quand a Arlas, le temps lui était compté mais pour le moment rien n'était trés pressant ....

[Hj: je te rend un peu ta liberté de perso]

Oberon arriva au pied du volcan et vit le spectacle macabre qui s'offrait à lui. Pas un habitant n'avait été épargné, la plupart de ses ouvriers avaient été violament assassiné. Quelques maisons brûlaient encore, répendant une odeur âcre de fumée et de corps calcinés. Sans doute l'oeuvre d'un démon à en croire par la persistance de l'odeur de souffre qui flottait dans l'air.

Une violente colère monta en lui, qui avait bien pu oser s'en prendre à ses ouvriers? Soudain la terre se mit à trembler, et le sol engouffra quelques maisons encore debout. Oberon se retourna et vit la cheminée du volcan cracher de la fumée. Puis une fontaine de lave surgit tout à coup sur le flanc du volcan, une nouvelle cheminée était en train de se créer. Il commanda alors à la lave qui dévalait la pente de se diriger vers le village. D'ici une vingtaines de minute, il ne resterait rien d'autre que de la roche en fusion ici, créant une nouvelle parcelle de terre et où tout pourrait recommencer à nouveau.

Obéron se dirgea alors vers les montagnes, ne s'inquiétant pas pour ses forges. En effet ce n'étaient pas la première fois qu'ellle subissaient les humeurs du volcan et étaient protégées pas un sort qu'il avait lancé il y a bien longtemps.

[vers les montagnes, je sais pas où exactement]

(HRP) .. Début de scène dans ce lieu .. [ provenance .. Ist .. le lac .. les rives du lac .. au bord de la cascade ]
............



… La désolation régnait sur ce qu’il restait du petit village et les alentours. La lave durcit en avait recouvert la majorité. Rien ne pousserait plus jamais sur se sol volcanique. Il allait falloir choisir un autre flan du volcan pour reconstruire.

-(Uzril)- *Azazel. C’est là une œuvre démoniaque. A n’en pas douter. L’aura infernale plane encore sur les lieux. Mais il y a plusieurs auras infernales. Elle sont diffusent mais encore présentes. Je dirait que deux à quatre démons différents on foulé ce sol dans les semaines précédentes.*

-(Azazel)- *Tiens toi sur tes garde et préviens moi du moindre signe d’activité démonique.*

-(Azazel)- Maïa, rien n’est plus constructible sur cette terre volcanique. Il va nous falloir choisir un autre versant du volcan. Si tu tiens toujours à reconstruire si près du volcan.

Le paysage désolé qui s'offrait à elle la mettait mal à l'aise. Gris, triste, poussiéreux, elle ne supportait pas ette vue.
Avant ici couraient des gamins, flottait une odeur de pain chaud. On lui disait bonjour quand elle passait, elle commençait à se lier avec certaine personne et tout le monde l'appréciait.
Des larmes lui montèrent aux yeux. Encore ! Elle en avait marre. Azazel ne devait pas la voir comme ça, si faible. Jamais ! Elle se retourna et se mit à courir. Tout droit sans s'arrêter, sans faire attention, sans savoir où aller exactement.
Il fallait reconstruire ce village.
Elle s'arrêta au pied d'un arbre, plus loin. Elle se laissa tomber, ses jambes ne la portaient plus.

"Non, je ne veux pas que tu me vois comme ça, pars, tu me vois faible, je ne dois pas l'être..."

Elle ne le repoussa pas pourtant. Sa chaleur la rassurait et lui faisait peur à la fois. C'était le feu, et la lave qui avait tout détruit. Mais c'était l'étoile dans un regard, le soleil dans un sourire, l'étincelle dans un coeur qui la faisait vivre.

"On le reconstruira hein ? Promets-le moi s'il te plaît..."

Elle se blottit contre lui. Passa ses bras fins autour de l'ange. Elle se sentait bien dans les bras de son ange, son ami devenu si précieux à ses yeux.

Oberon revenait de Westen. Il s'était changé les idées là bas, mais tout lui rvint clairement à l'esprit lorsqu'il vit la vallée, jadis fertile, transformée en une trainée de lave noire.

Il leva le regard vers le cratère, il ne s'échappait plus qu'un peu de fumée de la cheminée. Il pensa qu'il pourrait bientôt reprendre ses activités de forgeron. La chaleur des fours et le tintement du métal mui manquait déjà...

Il fit quelques pas sur la coulée de lave durçie. Rien ne pousserais dessus avant longtemps. Mais il faudrait avant tout reconstruire le village et retrouver du monde pour y vivre et y travailler...

"Mmmmh ?"

Elle mit un certain temps avant de sortir complètement de son état d'endormissement.

"Un démon ?"

Immédiatement un grand sourire illumina son visage.

"Ca doit être Obéron !"

Elle s'écarta d'Azazel pour se diriger vers son cher Obéron. Elle revint à l'endroit où ils étaient un instant plus tôt. Elle aperçut la silhouette reconnaissable de celui qu'elle cherchait.

"Coucou !"

Un grand sourire éclairait son doux visage.

Une silhouette se précipita droit sur lui et se retint de lui sauter dessus.

"Bonsoir Maia, comment allez vous?" ^^

Il s'approcha de la petite fée, lui vola une main et y déposa un baiser, comme il en avait si bien l'habitude. Puis quand il observa le visage de celle ci, il remarqua qu'elle paraissait fatiguée et chagrinée.

"Que se passe t-il?"

demanda t-il, afectant un air inquiet.

"Oh, oui ça va ! Juste un pincement au coeur de voir tout ce vide ici."

Elle était bienheureuse de retrouver Obéron. Azazel était déjà arrivé, jouant un air bizarre quel ne sut déchiffré. Elle n'aurait d'ailleurs pas aimé cet air si elle avait su ce qu'il signifiait. Elle prit le bras du démon et l'entraina vers l'ange.

"Voici Azazel, un ami à moi, que j'aime beaucoup. Azazel, je t'ai déjà parlé d'Obéron ^^."

Elle avait un grand sourire, toute petite à côté de ces deux êtres que tout opposait. Pour elle ils n'étaient que deux personnes qu'elle aimait beaucoup, mais n'importe qui aurait eu peur de cette rencontre.

"Je voulais reconstruire un village, il m'a proposé son aide, vous voulez nous aider vous aussi ?"