Les forges d'Oberon

La main qui parcouru la nuque d'Eloise était si douce que l'espace d'un moment cette envie sanglante de le tuer disparut totalement. Elle savaitce qu'elle avait a faire mais pour le moment elle s'y refusait.

Avec une grande douceur elle s'approcha de son oreille avant de l'enfermer dans sa bouche si douce pour ainsi lui susucer le lobe ce qui provoqua des doux frisson au démon.

Elle aimait diriger mais une seule fois elle se donnerait a quelqu'un, elle se donnerait a celui qu'elle avait choisit pour être le seul qui poserait ses mains sur elle.

La main d'Oberon toujours perdu dans la chevelure de la démone se mit a caresser les cheveux de la belle tandis qu'elle cessait de gouter au plaisir de son oreille pour y perdre ses larmes non pudique dans son cou si désirable. Goût esquit qu'avait le démon, il était vraiment attirant et la main balladeuse de la démone qui jusqu'a la s'aventurait sur le dos de celui ci, commenca a revenir dans son cou puis a parcourir ses cheveux.

Un sourire et des yeux de velours voilà ce qu'affichait a présent la démone..

Il frissona de plaisir lorsqu'elle se mit à lui sucer le lobe de l'oreille, fermant les yeux afin de mieux savourer cet instant.
Lorsqu'elle ce fut arrêté, il descendit délicatement la main qui parcourait ses cheveux le long de sa colonne vertébrale, provoquant à son tour des frissons chez la demoiselle. Il enfouit alors son visage le long du coup délicat de la démone et entreprit de le suçoter à sa base.
De sa main libre il lui caressa les côtes, puis commença à défaire la ceinture qui retenait la robe légère de cette créature si sensuelle.

Il termina alors son suçon, mais resta plongé dans son coup, puis remontta et se saisit de sa lèvre inférieur et la lui mordilla légèrement avant d'entamer un nouveau baiser.

Main douce qui descendit sur la colonne de la démone, plaisir intense, frisson délicat, une atmosphère dés plus douce était en train de s'installer dans la forge.

Une illusion apparut alors créait par Eloise, elle même, des rose rouges se mirent a frapper les sol en douceur pendant que des bougies rouge et blanche s'éclairer ça et las sur le sol.

Un parfum ennivrant vint effleurait les narines des deux personnes comme un appel aux plaisir suplémentaire. L'illusion était parfaite, elle était là pour créer une atmosphère euphorique.

Quand le visge dOberon se pencha sur la demone, elle eu un trésaillement soudain quand il vint se perdre sur son cou, ses lèvres commençant a lui faire un doux sucon des plus attrayant.

Quand une des mains vint défaire sa ceinture elle ne rispota pas se contenta de l'aider adroitement d'une main aussi agile. La ceinture tomba au sol laissant la de satin devenir bien maigre comme rempart au plaisir.

L'instintc démoniaque de la belle reprit soudain le dessus et d'un mouvement des plus vif elle déchira de ses onfles devenus acérés le haut du démon. Le corps que cachait la chemise était une perfection de la nature si beau si jeune si.. parfait.

Elle se plu a le contempler quelques intant le détaille dans tous les coins avant de se coller contre ce torse. Il avait des bras d'une musculature impressionnant sans doute le faite d'avoir forgé. Il pourrait si il le voulait la soulever comme un plume.

La démone créa une illusion rendant l'atmosphère des forges bien plus adaptée au combat charnel qu'ils venaient d'entammer. L'illusion était des plus parfaite, allant même jusqu'à la fragrance d'un parfum à la fois délicat et ennivrant.

Il vennait de retirer la ceinture de la jeune femme, ne laissant plus que sa robe de satin comme ultime rempart devant sa peau divinnement douce, lorsqu'elle mit en lambeaux la fine chemise qu'il portait, découvrant ainsi son torse et le griffant par la même occasion.

Elle se colla tout contre lui, aprés l'avoir observé un instant, offrant un contraste saisissant entre la musculature développée du forgeron et la frèle silhouette de la démone.

Il commença alors à faire glisser une de ses mains le long de la jeune femme, puis à attraper un pan de sa robe afin de remonter celle ci tout doucement. Sa deuxième main s'engouffra sous la fine épaisseur de tissus et se fit infiniment douce.

Aprés un long moment de caresses voluptueuses auquelles répondait la demoiselle par d'autres caresses et des fremissements, il retira completement la robe et laissa choir celle ci sur le sol de la forge.

Le corps qui s'offrit alors à sa vue était frèle, délicat et d'une grande beauté, mais on pouvait deviner une fine musculature sous la douceur de ses courbes harmonieuses. Il se pencha de nouveaux sur la jeune femme, embrassant et caressant ce corps si attirant, goutant à cette peau si satinée, si douce.

Caresse tendresse, le beau forgeron avait laisser de côté ses muscles pour se faire tendre. Plaisir doux et intense de sentir le corps d'un homme contre elle.

Quand Il attrapa sa robe pour l'enlever, elle l'aida doucement en ondulant son corps. Etre pudique n'était pas dans les moeurs de la demoiselle qui déjç mise presque a nue se fit encore plus féline.

Regard de braise, sourire intense, les mains balladeuse de la démons s'attardèrent sur la ceinture de l'homme avant de la défaire et de la laisser tomber au sol.

Eloise se leva alors et fit quelques pas dérrière l'homme qui la soutenait d'un regard des plus intense. Ses formes gracieuse, sa poitrine parfaite encore tenu dans ce soutif devenu gênant pour l'occasion.

Elle avait des sous-vêtements assortit a ses yeux et a sa nature, c'est a dire des rouge feu ou rouge sang. On aurait cru qu'elle marchait sur des oeufs tant la discrétion de ses pas se fit tendre.

elle avanàa encore vers lui et d'un geste rapide elle le colla a son tour contre la table avant de l'embrasser avec une délicatesse déroutante.

Baiser tout doux, baiser tempêtes.. Elle lui dit d'une voix frèle mais coquine un emmene moi .. avec toi.. dans ce voyage.. qui aurait pu faire fondre la terre entière..

Oberon se fit plaquer à son tour contre la table en bois. Elle vint alors l'embrasser délicatement, puis lui murmura à l'oreille une invitation à aller plus avant.

Il passa alors une main le long de son dos et dégraffa le soutif de la demoiselle. Il la contempla alors un instant, son corps était parfait, sa silhouette des plus gracieuse et sa poitrine ni trop grosse, ni trop petite, juste comme il aimait. Il posa alors une main sur son sein gauche, la caressant tout doucement, puis l'embrassant.
Son autre main, qui était restée dans le dos de la démone, redescendit vers ses reins...

Elle ne bougea se laissant contempler avec tout le naturel du monde. Silhouette fine et élancer pourquoi se cacher dérrière une pudeur mal placé. Lé désir était plus que palpable au sein de la forge.

Les mains voyageusent du beau démon ne céssèrent pas leurs courses une séchouant sur un des monts de la demoiselle, l'autre allant tout droit vers des lieux plus secret. Au creux de ses reins elle sentit cette main douce lui caressait la courbure de sa croupe.

Elle ne dit pourtant pas un mot se contentant de se coller a lui. le pantalon du démon vola en cendre sous le contrôle parfait de la demoiselle.

Et les voilà tous les deux a égalité, plus d'un rempart sur le corps. Un tapise de rose se créa sur le sol dans lequel Eloise se laissa tomber.
Corps dénudé au mileu d'un parfum ennivrant qeu de mieux comme spectacle pour le démon.

Elle leva ses yeux sur lui attendant sa réaction toute en posant frénétiquement l'invitant a le rejoindre. Elle avait besoin de sentir les bras d'un homme... sa force charnel.

Le démon contempla un instant encore le corps dénudé au milieu des roses, puis vint la rejoindre, l'embrassant encore et encore. Ses mains, elles, continuaient leurs tempête de caresses.
L'une d'elles vint s'attarder sur le pubis de démone et arracha le petit bout de tissu qui osait encore s'interposer. Il reprit de nouveaux ses caresses et ses baisers, ne laissant que peu de répis au corps de la demoiselle.

Les douces caresse du démon faisaient augmenter le désir d'Eloise, elle qui avait toujours été si dominatrice était maintenant la proie. Et le pire dans tout ça, c'était qu'elle adorait, elle en redemandait ! Jamais elle n'aurait pu penser un seul instant se laisser dominer par un homme, mais il aurait dû lui venir à l'esprit qu'un démon n'était pas un homme ordinaire, et même la plus charmante de toutes les démone ne pouvait rien faire contre la luxure démoniaque qui se dégageait de lui

Alors elle se laissait aller à ces baisers, ces entreprenantes caresses, cette vague de désir qui montait en elle comme un raz-de-marée de plaisir, de sensualité à l'état pur.


Eloise dans toute sa plendeur ondula chaque muscle roulant avec grâce sous sa peau d'albâtre. Elle prit une pose des plus langoureuses, aimant jouer les suggestives, les fausses sages, et lorsqu'il vint s'allonger à ses côtés elle sourit, lui caressant le dos du bout des ongles tandis qu'il l'embrassait sans pudeur sur le corps, sans pudeur, certes, mais pas sans sensualité.

Elle s'étirait parfois, comme pour libérer un accès vers telle ou telle autre partie de son corps. Elle aimait ce genre de caresses, ce genre de baisers doux et sensuels, promesses de plaisir. C'est avec un désir mordant qu'elle le laissait explorer chaque infime partie d'elle, chaque recoin de son corps même son intimité déjà emplie de désir. Elle lui appartenait, et elle savait qu'il en profiterait.

Elle ondulait divinement sous ses caresses, répondant à chacun de ses baisers. Il s'attarda plus longuement sur les zones hérogènes de la démone, la faisant gémir de plaisir sous ses attaques sensuelles et répétée.

Il attrappa alors quelques pétales de roses et les fit tomber en pluie sur le corps nue de cette diabolique créature. Le rouge profond des pétales contrastait etonnament bien avec le teint laiteux d'Eloise. Un rire cristallin s'échappa des lèvres de la démone, répondant au sourire qui ornait les lèvres du forgeron.

Elle se releva légèrement pour venir cueillir un baiser sur ses lèvres, auquel il répondit avec entousiasme. Puis sentit de petites mains se promener sur son corps avec entrain et voluptée.

Le désir d'étreindre la démone grandissait chaque seconde un peu plus en lui, surtout lorsque les mains balladeuse de celle ci vinrent tout d'abord froler son intimité, puis s'immisser en caresses plus insistantes.

Le plaisir de voir Oberon heureux fit oublier encore plus a Eloise ce pourquoi a la base elle était là, d'une main délicate et douce elle s'employa a délivrer la bête de son dernier rempart vers le plaisir.

Alors que le démon commençait a voyager de sa main chevaleresque dans l'antre secret de la démone, celle çi se fit un doux plaisir a caresser a son tour l'object du futur plaisir qui q'ouvrait a eux.

Eloise ne cessa ni ses caresses ni ses baisers qui se fit de plus en plus tendre et coquin a la fois. Mélange de désir et de passion dévorante, elle s'attarda sur le corps du démon. Ele bisouilla son torse de mille façon différente, elle caressa la source d'un futur plaisir de mille divines façon ne faisant qu'augmenter le désir du démon.

Puis elle se laissa glissai sur le côté en lui jettant un regard désirable comme pour lui demander de l'étreinte, lui le démon qu'il était. Elle voulait voyager avec lui guider par le maître du plaisir.

La démone lui adressa un regard emplit de désir des plus explicites.

Il attrappa alors la main balladeuse de celle ci, eméla ses doigts aux siens, puis passa au dessus d'elle, commençant à méler leurs deux corps dans un intense plaisir.

Le corps à corps se fit d'abord doux, puis peu à peu, le démon se fit plus passioné et plus fougueux, alternant différents rythmes.
Il prennait garde à ne pas écraser la frèle jeune fille sous son corps, et prennait plaisir tantôt à couvrir son visage et son coup de baisers tous plus doux les uns que les autres, tantôt à la mordre de mannière sauvage et incontrôlée.

La diablesse enserra des ses jambes la taille du forgeron, puis vint caresser le dos de celui ci, y enfonçant ses ongles ascérés dans sa chaire d'abaltre. Il sentit ensuite ses mains descendre le long de sa colonne et venir appuyer entre ses reins, l'invitant à aprofondir leur contact et leur plaisir par la même ocasion.